Traduction

mercredi 15 octobre 2014

Action directe !

Je ne vois pas aujourd’hui d'autre voi (e/x) que celle de l'action directe (!), avec des initiatives citoyennes conçues à la fois contre le pouvoir de la finance et le désastre climatique qui lui est si étroitement lié. 

Pléthore de réalisations concrètes existent déjà dans ce sens partout sur la planète.  

La question de l’utilisation de la violence ou non pour briser le joug appartient aux démarches particulières, en fonction des contextes, à savoir de la nature de la violence exercée par les tenants du pouvoir en place.

Mais force est de constater que l’immense majorité de ce qui se met en œuvre est tellement imprégnée de l’essence même du projet qui motive ses acteurs – la solidarité, le partage, le respect, l’humanisme, le besoin vital de paix – que l’inverse de la violence est présente partout.
 
C’est cette cohérence-là, entre l’objectif et le moyen utilisé pour l’atteindre, qui donne à cette révolution « intérieure », toute invisible qu’elle soit pour le moment, son extraordinaire puissance.  

L'important est donc de ne pas perdre de vue l'essentiel, c'est à dire le fait qu'en ce moment même on assiste à la mise en place de modes de vie (consommation, l'habitat, etc.) dont le point commun est - à terme - l'élimination de facto du rôle prépondérant et dictateur de la finance.

Et "à terme", c'est quand?

Certainement lorsque la conscience collective aura réalisé (dans tous les sens du terme) que son pouvoir est immense et qu'il réside dans la convergence d'un nombre suffisamment important de ces actions sans lien initial apparent.  

La réussite, effectivement, ne peut être que planétaire, puisque la catastrophe l'est!  

En France, l’objectif « 6ème République » est le moyen de révéler à la conscience collective l’ampleur et la nature profonde du changement qui s’opère en ce moment même dans notre pays, afin d’en multiplier les initiatives et les effets.  

Alors à vos idées, braves gens, et chacun à notre manière, transformons, quartier par quartier, secteur par secteur, commune par commune nos manières de gérer nos vies, en remettant Mon Saigneur Pognon à sa place, c’est-à-dire (autant que faire se peut) « de côté » !


 

 

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