Pléthore de réalisations concrètes
existent déjà dans ce sens partout sur la planète.
La question de l’utilisation de la
violence ou non pour briser le joug appartient aux démarches particulières, en
fonction des contextes, à savoir de la nature de la violence exercée par les tenants
du pouvoir en place.
Mais force est de constater que
l’immense majorité de ce qui se met en œuvre est tellement imprégnée de l’essence
même du projet qui motive ses acteurs – la solidarité, le partage, le respect, l’humanisme,
le besoin vital de paix – que l’inverse de la violence est présente partout.
C’est
cette cohérence-là, entre l’objectif et le moyen utilisé pour l’atteindre, qui donne
à cette révolution « intérieure », toute invisible qu’elle soit pour
le moment, son extraordinaire puissance.
L'important est donc de ne pas
perdre de vue l'essentiel, c'est à dire le fait qu'en ce moment même on assiste
à la mise en place de modes de vie (consommation, l'habitat, etc.) dont le
point commun est - à terme - l'élimination de facto du rôle prépondérant et
dictateur de la finance.
Et "à terme", c'est quand?
Certainement lorsque la conscience
collective aura réalisé (dans tous les sens du terme) que son pouvoir est
immense et qu'il réside dans la convergence d'un nombre suffisamment important
de ces actions sans lien initial apparent.
La réussite, effectivement, ne peut
être que planétaire, puisque la catastrophe l'est!
En France, l’objectif « 6ème
République » est le moyen de révéler à la conscience collective l’ampleur et
la nature profonde du changement qui s’opère en ce moment même dans notre pays,
afin d’en multiplier les initiatives et les effets.
Alors à vos idées, braves gens, et
chacun à notre manière, transformons, quartier par quartier, secteur par
secteur, commune par commune nos manières de gérer nos vies, en remettant Mon
Saigneur Pognon à sa place, c’est-à-dire (autant que faire se peut) « de
côté » !
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